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Que savez-vous sur Georg Friedrich Haendel ?

Autrefois, la profession de musicien se transmettait de génération en génération. Georg Friedrich Haendel n’était pas prédestiné à devenir un célèbre compositeur, car il avait des origines plutôt modestes. Il en est devenu un grâce aux bonnes fréquentations de son père qui était un excellent chirurgien barbier. Haendel avait débuté en prenant des cours de clavicorde (un ancêtre du Piano).

Une double citoyenneté

Haendel est né le 23 février 1685 à Halle ; il avait passé toute son enfance sur le territoire allemand. Jusqu’ à l’âge de ses 25 ans, il se déplaçait entre Halle – Hambourg – Hanovre dans le but de se former davantage. Dans sa quête effrénée, il avait quitté son pays natal pour la découverte de l’Italie, de Rome et encore Naples. Haendel commençait à prendre goût à un style nouveau qu’était le baroque. Quelques œuvres avaient découlé de cette inspiration : Rinaldo, Tamerlano, Guilio Cesare. Plus obstiné que jamais, il avait élargi son périple vers l’Angleterre où il allait être naturalisé.

Talentueux et calculateur

Auriez-vous songé qu’Haendel pouvait devenir le compositeur officieux du Royaume d’ Angleterre ? Et oui cela s’est réellement fait grâce à un travail acharné ! Il était même parvenu à remplacer Henry Purcell dans le cœur des Londoniens.  Même la Reine Anne fut entièrement conquise par son œuvre Te Deum (1713) jouée dans la cathédrale de Saint Paul. Vers 1730, Haendel se consacrait de plus en plus aux oratorios religieux puisque les opéras nécessitaient des investissements exorbitants. Par ailleurs, Haendel s’est prêté également à l’art made in London. Ce qui allait lui apporté en conséquence un réel profit.

Un compositeur susceptible

Bien que sa vie privée ne s’est jamais ébruitée, Haendel semblait n’avoir ni femme ni enfant. Ce qu’il avait de plus précieux, c’était ses œuvres. C’est pourquoi il se montrait constamment très exigeant envers ses interprètes. Les répétitions étaient pour lui des instants cruciaux. De son vivant, Haendel s’affirmait à être un personnage au grand cœur. De son vivant, il était très investi dans la vie sociale. Chaque année, il organisait un spectacle en faveur de l’orphelinat, et il finançait en partie un hôpital. Avant sa mort en 1759, il avait même inscrit des associations de bienfaisance dans son testament.

Jean-serge Lubeck
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